mercredi 28 novembre 2007

Entreacte




Lundi soir, après une rude journée de travail. C. et moi allons au théâtre Trévise voir Eric Antoine, qui se définit lui-même comme étant le plus grand humouriste de France- normal vu ses 2m07...
Le spectacle est agréable, le ton nouveau, ce mec semble parfois tout droit sorti d'un hopital psychatrique...
Certes il s'agit de tours de magie, mais sans Sylvain Mirouf...Ambiance plutôt de cabaret, intermède de musique, et participation du public.
Je m'agace à chercher le pourquoi du comment, rien y fait on y voit que du feu.
Un bon moment qui nous fait un peu oublier le rythme soutenu de la semaine.
Vive les prochaines vacances au ski avec C. MLD et F. en janvier...

lundi 26 novembre 2007

Pop Idol n'a qu'à bien se tenir...

Ma journée de millionaire


Bon ca va beaucoup mieux.
J'arrête de me prendre la tête avec cette maison, autrement je suis bon à me pendre (mon dernier tableau m'aurait-il inspiré...)
Dimanche à la cool avec C. Je prend mon temps.
Comme à mon habitude je pars faire le marché. J'aime me retrouver parmi cette foule, même si des fois elle m'exècre, l'animation me rend vivant.
Avec C. on a reçu de la part d'ami artistes peintres deux invitations pour la MAC (une sorte de marché d'art contemporain plutôt haut de gamme).
Et en effet je ne fut pas déçu, de joli travaux d'exposer, de la recherche, des expérimentations amusantes, parfois troublante.
Un photographe expose des clichés de personnes nues. Il montre avec pudeur et sans voyeurisme des corps nus, vieillis à l'extrême, décharnés, secs. Une femme de 80 ans pose avec une très joli jeune fille, toutes les deux sont nues. C'est beau de vieillir et d'accepter son corps.
Au bout de 20mn nous tombons sur le stand de nos amis. Retrouvailles chaleureuses, d'autant qu'ils n'avaient pas vu encore C. enceintes.
Lui me montre ces derniers travaux, je suis admiratif.
Leur site ici
Sur leur stand des nouveaux tableaux. Un homme fait un chèque de 5.000€. Les affaires ont l'air de bien marcher.
Et puis une toile m'intrigue. Je la trouve différentes des autres, également de celle que je leur ai prise quelques moi auparavant. Ses dimensions sont telles qu'elles ne peux pas rentrer dans mon appart'. Sans aller chercher plus loin je lui demande à combien il l'a fait. Il prend son temps et me dit avec son accent du sud que j'adore. "Tu sais A. je vais te faire un bon prix ! Elle t'intéresse ?"
Feignant d'être vraiment intéressé je lui rétorque que oui. Il réfléchi et me dit qu'il me l'a fait à 3.000€. Je prend note. Je sais pertinemment que je viens d'acheter une maison et qu'il va falloir commencé déjà à payer les intérêts.
Il ne m'a pas fallu 10mn pour qu'au final on s'entende sur le prix initial. Il me l'a livre demain (chez des amis qui ont un loft).
En lui disant oui, je savais pertinemment que cet achat était irrationnel, mais je suis comme ça. Je peux paraitre pour quelqu'un de capricieux, mais quand j'aime, j'achète.
Voilà comment en voulant passer dire "bonjour", on repart avec une toile de 2m50 et plusieurs milliers d'euros en moins.
Le soir j'essais de rationaliser mon achat en me disant que je pourrai toujours la revendre dans quelques mois au cas où. La premier toile que je leur ai acheté a déjà doublé sa valeur. Et en mars ils sont vendu au enchère aux cotés de Sophie Calle et Christian Boltanski.

Le soir C. et moi retrouvons mes parents au train bleu à la gare de Lyon. Ils fêtent leur 30ème anniversaire de mariage. J'évite de leur parler de la toile, ils seraient fous. Repas exquis au champagne, mon père se lâche, il quitte son boulot dans un grand théâtre Parisien pour un haut poste à la Comédie Française.
Je sens que ces derniers jours il s'est fait pas mal de soucis à mon égard, je le rassure son mon état mental. Me dis, sur le ton de la plaisanterie, que j'aurais besoin de voir un psy. Mon psy est ma peinture lui répondis-je.

dimanche 25 novembre 2007

Qui veut perdre 15.000€ ?

Bon c'était décidé, je ne signerai pas ou plus.
Je me lève, et je trouve C. derrière l'ordi, elle regarde des annonces.
On les regarde méticuleusement, on fait une sélection et rappelle les agences.
Trois visites sont programmés.
La première est vite à oublier : une sorte de garage en semi sous sol...Putain ou suis-je arrivé ?
La seconde est un rez de chaussée à Montreuil, l'endroit est sympa, mais le séjour trop petit. Et puis la vue, difficile d'en troquer une sur tout Paris pour un bosquet dépouillé. Je commence avoir mal au ventre.
La troisième visite est plutôt surprenante. Direction Bagnolet. A moins d'un km d'où nous sommes. A priori je n'aurais jamais choisi de visité un tel appartement car situé dans une tour de 17 étage. Celui que l'on visite est au 16e. La tour est situé au milieu de maison, le quartier est tranquille. Je me dis qu'une fois de dans on ne voit pas la tour. On ne peux pas dire que c'est sexy. Mais la bonne surprise est à l'intérieur. On arrive de nuit. Et là j'en prend plein la gueule. Je retrouve cette vue, mais encore en plus dégagé sur tout Paris. Je suis soufflé. L'appart' fait 83m2, super bien agencé. On a plus qu'à y poser nos valises. J'ai du email a cacher mon engouement malgré le fait d'être dans un tour, je me dis que je m'en fout je suis quasiment à Paris, et que Paris est à mes pieds. Mais C. doute. Elle trouve ca trop haut, et l'environnement ne lui plaît guère. La nuit je vais avoir due mal à trouver le sommeil.
Lendemain matin, je passe un coup de fil au promoteur et lui fait part de notre décision de nous désister du projet. Nous n'avons pas signé chez le notaire. Là je prend une grande baffe dans la gueule lorsqu'elle m'annonce que je devrais dans ce cas m'acquitté du montant de 15.000€ pour les frais de réservation. Je pensais qu'ils étaient de 1000€ (or il eut fallut comprendre qu'il s'agissait de seulement d'un avancement du montant totale de la résa). La connasse me rappelle d'une douce voix que j'ai bien apposé à côté du contrat "lu et approuvé". Ces trois mots vont me couter cher, d'autant que le délai de rétractation est expiré.
Je bouillonne, tourne en rond. Je dis à Céline que je veux me réveiller, je suis en plein cauchemar...
On prévoie malgré tout une nouvelle visite dans l'appartement d'hier, celui de la tour. On y retourne accompagné de nos familles. Leur avis est moins optimiste que le mien. Et puis C. n'en veux pas. On oublie donc.
Me voilà dimanche après-midi, exténué avec cette impression que j'ai fait la plus grosse connerie de ma vie. J'ai acheté une maison que je ne veux plus, et je n'ai pas d'autre solution que de commencer à payer les traites, sauf à vouloir perdre 15.000€. Céline me dit que ca fait quand même un an de son salaire. Ca donne réfléchir. Bon ok, on ira dans cette putain de maison. Et on se met à espérer qu'au final ce sera mieux que ce qu'on voit sortir de terre.
Le soir, après avoir chialer comme un gamin qui avait commis une grosse connerie, et après avoir dormi toute la fin de la journée, on commence avec Céline à avoir une discussion surréaliste.
On sait que cette maison bénéficie d'une réduction de TVA. Le soucis c'est qu'on nous interdit de la revendre avant 5 ans, sous peine de rembourser la TVA (environ 40.000€) Seulement il y a des clauses qui nous permettent de la vendre avant ce terme qui me parait être une condamnation pour perpet'...Ces causes sont entre autre le décès (on va pas tout de même s'entretuer, le divorce, le dépacsage).
Vu que nous nous sommes pacsés cet été, nous prévoyons de nous dépacser dès l'acquisition de la maison, ou bien quelques mois après, le temps de trouver ailleurs. Voire même de se marier puis de divorcer au cas ou le dépacsage ne suffirait pas à récupérer nos billes. Nous qui n'avons jamais souhaité nous marier, c'est un comble. On en rigole, c'est complètement ubuesque. Je me voit déjà annoncer à mes parents :

-On a une bonne et une mauvaise nouvelle.
La bonne est que C. et moi allons nous marier.
La mauvaise est que nous allons aussi divorcer.

J'imagine la tête de mes parents...Bon cela dit nous n'y sommes pas encore, on va essayer de retrouver nos esprits, faire en sorte d'aménager cette foutue maison en quelque chose de présentable, pour bien la vendre (à un aveugle ce serait chose aisée...). Là je vois les choses qu'en négatif, mais lorsque le petit sera là, je pense que je serais content d'avoir une baraque de 92m2 avec une jardin. On est tout de même pas à la rue.

Le soir je regarde un documentaire sur Béjart. Ca me fais du bien de voir ces danseurs. Putain qu'ils sont beaux. Lui par-contre n'a pas eu cette chance, avec cette tête mi diablotin mi aigle, il me fait peur.

Ce soir mes peurs se sont apaisées.
Bientôt je serais dans la peau de Charles Ingalls...

jeudi 22 novembre 2007

J'y vais, j'y vais pô

Journée de grosse flip.
Je demande à Y. s'il est toujours possible de faire marche arrière une fois que l'on a signé l'accord de prêt à la banque, malgré le délais des 11 jours expiré.
La réponse est OUI, rien n'ayant été signé chez le notaire.
Si je flippe c'est à cause de C. Cet prem' on est allé voir l'avancée des travaux. Je savais pertinemment que le vis à vis était proche mais quand on le voit "pour de vrai" ça peux faire peur. Alors on se réconforte en ce disant qu'il y a des avantages ailleurs...et que ce n'est pas si cher, et qu'au pire on peut revendre ou bien louer (même si on a pas trop le droit...c'est compliqué à expliquer). Je fini la journée avec un mal de crâne pas possible. On se laisse encore le temps de la réflexion. De l'autre je ne vois pas trop d'alternatives, quand je vois les prix sur Paris, allez vous payer un 92m2... c'est impossible. Alors soit, on matera chez le voisin, ca ne me changera pas tant que ca au final, pourvu qu'il est un aussi beau joli cul !
Sinon j'ai croisé une nouvelle race d'usagé de la route. Le "rollervipède". Je ne sais pas si c'est casse gueule mais ça m'a fait rire.



Hier soir je suis retourné dormir chez Y.
Son colloc' ne savait pas qu'il aimait aussi les mecs. Jusqu'à présent il avait vu pas mal de filles défiler. Forcément voir son pote avec dans les bras d'un être doté de poils et d'une barbe de trois jours, il a eu un peu du mal à s'y faire. Ca se comprend, en tout cas il n'est pas du tout anti-pathique. De part mes horaires de petit vieux,l'impression de bousculer un peu leurs habitudes. Cela dit la personne capable de me tenir éveillée au delà de 23h n'est pas encore née...
Mais se coucher tôt a due bon, c'est davantage de temps passé sous la couette.

dimanche 18 novembre 2007

Home




Cela faisait près de trois semaines que j' avais commencé cette toile. Elle était là dos au mur, les jours passaient et bien qu'entreposée au milieu de mon séjour, je n'y prêtais plus vraiment attention. Et puis je ne sais pas pourquoi aujourd'hui elle me tendit les bras. Je l'ai allongé au sol. Notre tête à tête à bien durer 1/2h. Beaucoup de chose en moi bouillonnait. Je ressentais tout ces bouleversements de ces jours passés refaire surface. Il fallait que ca sorte aujourd'hui - absolument. Inutile de dire comment et pourquoi j'ai écris ou dessiné ceci ou cela. C'est l'intime qui parle.
Je me laisse emporter par "Again" de Archive, un sourire et forcément l'image de mon plus long baiser sur la bouche de S. qui me revient.
La toile me semble achevée. La messe est dite. Je la regarde, et me dis que malgré le fait que je me sente bien je suis pour le moins "perturbé". Je crois que je n'aurais jamais poser ces choses aussi intimes de par le passé.
Finalement, si j'arrive à aussi bien vivre c'est parce que justement j'arrive a extérioriser mes peurs. Ainsi couchées, j'arrive peut-être mieux à les affronter, ou bien à les accepter. Je ne sais pas.

samedi 17 novembre 2007

Relax Baby

Une fin de semaine plutôt cool.
Jeudi, soirée chez Y. Au début j'ai assez de mal à l'idée de me dire qu'il est en colloc'. La promiscuité n'est pas trop mon truc, je suis juste tombé sur le mauvais jour, d'habitude c'est beaucoup plus calme. Je fais donc connaissance de (je ne sais plus son nom) avec sa copine. Enfin disons que tout les deux ont quelqu'un d'autre dans leur vie sauf ce soir...Bref on se retrouve tout les 4 avec nos "illégitimes". C'est du joli. Prévenant Y. demande à ce que j'appelle C. Il s'inquiète pour elle. Il n'a pas l'habitude de la situation. Je lui dit que C. comprend et qu'elle sort aussi de son coté. J'aime bien le fait qu'il soit attentif, il ne veux pas blesser ou froisser C. La soirée se passe, on se matte le DVD de Forresti, il connait les répliques par coeur et moi je pique du nez...Le lendemain, tout est plus calme, à ce qu'il parait nos voisins de chambrée n'ont pas été sages...Nous, nous avons su être plus discret...Là ce matin c'est champs libre, dehors il caille je passe pour un cul gelé mais j'assume. Préparation d'un moelleux au chocolat. Je repars avec 3 tranches, forcément le petit a eu droit à sa part dixit Y. Il est trop...
Lendemain je décide de faire moi aussi grève, le boulot attendra. Avec C. on choisi de se faire l'expo Giacometti à Beaubourg.
Avant d'y aller nous faisons tant bien que mal, avec tout les bouchons, un tour dans les magasins de meuble boulevard Sébastopol. Je bave toujours sur ce fauteuil dit "nuage", il est en promo, je dit au vendeur que je reviendrai dans un an...C'est drôle dans tout les magasins on voit pousser ces cheminése avec du vrai "feu" mais sans bois. Elles marchent avec du liquide inflammable sans odeur. Le concept est génial...Là aussi je suis bien tenté. Il va falloir mettre pas mal d'argent de coté d'ici l'emménagement.



Retour à Beaubourg, l'expo me fait découvrir une partie de l'artiste que je ne connaissais pas.
Dès le début de l'expo On voit des tableaux de Giacometti fait en 1909 voir 1901. Je regarde la date de naissance de celui-ci "1901". Putain il est vraiment balèze ce mec. Jusqu'au moment où je m'aperçoit qu'il s'agissait de son père, peintre tendance impressionniste...
Ces dessins sont exquis, d'une force incroyables et on fait forcément le lien entre ceux-ci et ses sculptures. Je prête l'oreille à un conférencier qui de sa voix hypnotique nous compte des anecdotes sur cet homme aux mains d'or. Je trouve de jolis portraits de l'artiste fait par les plus grands photographes du XXe siècle. C'est marrant sa tête m'a toujours fait penser à celle de Cocteau.
Nous finissons C. et moi dans une crêperie rue "Brise miche" je prend le panneau en photos, et nous nous évanouissons dans ces rues glacées juchés sur nos vélos.




Le bébé arrive dans 5 mois...

mercredi 14 novembre 2007

L'heure Zéro...C'est Zéro


Je ne sais pas s'il faut mettre ça sur le dos de mon humeur, mais je n'ai pas du tout aimé ce film.
Je ne suis pas du tout rentré dans le jeu des acteurs, surtout dans celui de Lara Smet. Fille excentrique, limite demeurée, qui en faisait des tonnes.
Heureusement que la plastique du très beau Melvil Poupaud me fit rester sans la salle. Ah ce Melvil...Rrrrrrrrrrrrrrh.
Dites il est vraiment homo ?





Ce film fait suite aussi à une autre déception.
L'adaptation du livre de Grimbert "un secret".
Même si cette fois-ci j'ai trouvé les acteurs plutôt bons (sublime Cécile de France) Je n'ai pas vraiment retrouvé les émotions qui m'avaient pourtant subjuguées à la lecture du roman. Alors un conseil lisez-le !!!

lundi 12 novembre 2007

Comment ça se passe ailleurs




En Sibérie, au VietNam, chez des Babacool Canadiens, ou bien encore chez les Touaregs, comment font-elles ces femmes pour accoucher ?
Durant une heure trente, on passe d'un continent à l'autre, parfois trop rapidement peut-être. On admire ces femmes dont on resssent pour beaucoup d'entre elle la solitude. Elles sont face à la douleur qui les transpercent. Les cris se mêlent aux larmes, et pour l'une d'entre elle la mise au monde d'un mort né et ce malgrè le sacrifice d'une chèvre. Les images sont parfois dures, on est agacé (et oui je ne n'ai pu m'empêcher de juger) par ces Babas qui refusent toute assistance quitte à en payer le prix forts. Du coup la maman accouche et garde en elle le placenta. S'en suit une mythique scène où son amie, la main fourrée dans son intimité, va chercher la poche contrevenante...Quand on pense que dans certains pays ils n'ont accès à aucun soin, et que d'autres mettent leur vie et surtout celle de leur enfant en jeu...Passons.
Autrement je garde en tête de superbes images d'un accouchement au Brésil dans l'eau, avec pour compagnons des dauphins (je sais faut être aussi chtarbé !)

dimanche 11 novembre 2007

Vue sur...



Paris fête ses héros de la Première Guerre.
Et moi je suis là, assis derrière cette vitre qui me rappelle qu'il a plu cette nuit.
Mon thé refroidi, du travail m'attends.

samedi 10 novembre 2007

7 jours au Grosland

Les journées filent depuis une semaine à 100 à l'heure. Dans le désorde :
Un Charles Aznavour qui, du haut de ses 82 ans, donne des frissons quand il chante "Comme ils disent".
Une ballade au grand marché d' art contemporain.
Un baisé volé à Y. sous les yeux du Génie de la Bastille.
Le cd d' Adrienne Pauly tourne en boucle sur mon PC. J'veux un mec...Suffisait de demander.
Un course vélo vs roller dans les rue Parisiennes. Y. a perdu.
La flippe pour la maison, s'endetter sur 25ans, ça n'arrive pas tout les jours.
Un fou rire sous la douche avec toi. On est bien tout les deux je trouve.
Un Georges Clooney décevant dans son dernier film.
"24h chrono" saison 3...espérons que les suivantes soient meilleures.
A Chaillot, une pièce de théâtre gentiment ennuyeuse (Normal je dors peu...)
Enfin un ex qui se croit en haut de l'affiche, mais tout le monde ne s'appèle pas Aznavour...

C. est belle, son bidou aussi...

dimanche 4 novembre 2007

samedi 3 novembre 2007

livre, design...la foire de Paris c'est ici

Si vous n'imaginez pas ce qu'est le bonheur de nager dans une rivière qui mousse.
Si vous ne saviez pas que la boite noire d'un avion fraîchement écrasé, pouvait faire office de pied de lampe.
Si vous voulez savoir quel effet donne de faire du vélo avec des abats encore tiède dans son slip.
Alors voici au moins trois raisons de vous jeter sur ce bouquin...et découvrir un monde glauquissime mais non moins caustique.



Autrement avec C. on se projette dans l'aménagement de notre futur maison (quoique j'hésites en fait encore à signer...cet apres midi je vais visiter d'autre chose pour etre vraiment sûr...).
Fan (ou victime ?) de design que je suis, voici une sélection de ce que j'imaginerai bien dans mon futur petit intérieur...à condition de bosser dur. On a rien sans rien.






Et oui une vraie cheminée, avec du vrai feu qui brule tes mains quand tu le touche, mais sans conduit ni odeur...magique !





vendredi 2 novembre 2007

Réincarnation

Jusqu'à présent je ne l'avais pas remarqué, mais mon chat est la réincarnation de Maître Yoda.
Que la force soit avec elle !!!



Autrement un jeudi ponctué par des prises de tête pour savoir comment on fait pour vendre de la colle en tube en ciblant dixit "les early adopters afin d'en faire un produit tendance, le must have de la rentrée 2008".
Et oui la pub c'est comme la mode, on travaille toujours avec un an à l'avance...
Ou encore faire "une démo rationnelle dans un environnement irrationnel, irréaliste...aspirationnel". Ami de la masturbation de cerveaux bonjour !!!

Heureusement pour se changer les idées rien de tel qu'un déménagement d'un 18m3, direction un 5e étage qui paraît en être un bon 10e.
Mais aussi des tonnes de Morbier, de Cantal (je ne suis plus sûr), et du vin...
Et pour finir une histoire de souris qui serait capable de monter dans les derniers étages, sans même prendre d'ascenseur...Elles sont dingues ses souris !